LETTRE OUVERTE A LA CAISSE D’ASSURANCE MALADIE

Voici le courrier que j’ai reçu par mail pour avoir osé refuser de prendre un générique je précise que comme tout le monde  j’ai avancé les frais, ce médicament n’a pas était ordonner par mon médecin généraliste qui lui sait mon intolérantes aux génériques et note sur les ordonnances NON  SUBSITUABLES ;

Objet : MA DELIVRANCE DE MEDICAMENTS GENERIQUES

Le ---/2014 une ordonnance concernant le bénéficiaire cité ci-dessus a été délivrée par la

PHARMACIE ---------et malgré les conseils de votre pharmacien, la délivrance de médicaments

génériques à la place de la ou des spécialité(s) suivante(s) :

- MOPRAL 20MG GELULE 7

 a été refusée.

Comme vous le savez, les médicaments génériques sont soumis aux mêmes contrôles de qualité que

les médicaments de marque et ils possèdent le même principe actif pour agir sur votre santé.

En choisissant le médicament générique, vous participez à l'effort collectif pour préserver notre

Système de santé, sans remettre en cause l’efficacité du traitement qui vous est nécessaire.

Nous vous remercions pour l’intérêt que vous porterez au présent courrier.

Avec toute mon attention,

 Ma réponse faite non par la touche « répondre » car pas possible mais via le site AMELIE en 2 mails car limite de lettre, ce qui fait que si les mails sont lu par 2 personnes différentes, ils ne comprendront pas.

Je viens de recevoir un courrier de Pôle Prestations en Nature, et je suis choquer de recevoir un courrier de ce genre, de quel droit m'accuser de ne faire aucun effort pour la communauté. Ce n'est pas moi qui ne veut pas des générique mais eux qui ne veulent pas de moi  car j'ai eu des gros problèmes de santé suite à la prise d'un générique vous comprendrez que je ne veux pas récidiver, sachez que mon époux   lui utilise les générique sans problème.

Maintenant, concernant les efforts pour la communauté j'estime avoir suffisant depuis l'âge de 14 ans cotisait et de plus pendant de très nombreuse année rien coutait, alors que l'âge et la maladie  sont là je ne suis pas une bonne citoyenne, fait-on ce genre de remarque aux bénéficière de la CMU qui eut ne cotise pas et profite souvent avec excès de l’assurance maladie 

Pour preuve extrait d'un article officiel sortie le même jour que j'ai reçu la lettre

2° mail

- La ministre de la Santé a reconnu début juin que ces cas de fraudes faisaient gonfler le nombre de bénéficiaires à l'aide médicale de l'Etat, faisant exploser le budget alloué à cette prestation

 Les fraudes à l'aide médicale de l'Etat préoccupent la ministre de la Santé. Si le phénomène n'est pas nouveau, Marisol Touraine a remis le problème sur le devant de la scène en reconnaissant devant les sénateurs début juin que des filières de patients venus d'ailleurs abusaient de cette aide destinée aux ressortissants en situation irrégulière et précaire. La ministre de la Santé a même admis que ces cas de fraudes gonflaient - en partie - le nombre des bénéficiaires à cette aide, qui a progressé de 35%

sur ces deux dernières années. Résultats: le budget alloué à cette prestation a explosé, s'élevant à 744 millions d'euros en 2013 au lieu des 588 prévus au budget, rappelle une enquête du Parisien ce lundi. Pour 2014, le budget de l'AME est prévu en loi de finances à 600 millions d'euros.

 Difficiles à identifier, ces cas de fraudes sont très variés: site Internet chinois proposant des cartes AME payantes, médecins escrocs produisant des actes fictifs pour revendre des médicaments à l'étranger, association présentant des copies dossiers AME, sans oublier des réseaux de personnes étrangères qui fraudent pour se faire soigner dans certains hôpitaux français. C'est notamment le cas d'une filière géorgienne, détaillée par Le Parisien dans son édition de lundi. 

 Le cas des Géorgiens tuberculeux

 Ils ont une trentaine d'années et sont hospitalisés à Paris ou dans sa proche banlieue depuis plusieurs mois. A l'origine de leur hospitalisation? Ils sont porteurs d'une forme grave et résistante aux antibiotiques (la forme XDR) de la tuberculose, qui nécessite une prise en charge spécifique (chambre spécialisée à pression négative) et un long traitement (entre 6 et 7 médicaments, pas tous commercialisés en France), écrit le quotidien.

La suite sur le figaro du 23/06

Et nous somme dans le même temps de plus en plus taxer et devons-nous nous privez de plus en plus de certains soins pour combler ce trou abyssales augmenté constamment par nos cher amis d’autres frontières pour qui les soins sont  gratuit ,on parle même de renvoyer les femmes qui viennent d’accoucher encore plus vite à la maison DE QUI SE MOQUE-T- ON ?