Finalement un mal pour un bien

J’ai était très déçue lorsque je n’ai pas eu l’embauche escompté lors de mon dernier poste.

Ils avaient pris le prétexte que je ne pourrai pas faire les nouvelle tache avec mon handicap, nouvelle tache qui a durée 1 mois car comme je l’avais dit ce n’était pas possible à mettre en place   car le public visée ne jouerai pas le jeu, et le projet a était abandonné.

 L’année 2012 c’est passé en opérations et soins de santé divers, début 2013 la conjoncture faisant très dure de retrouver du travail même en intérim surtout avec un arrêt d’un an pour problème de santé.

 Mais depuis fin mai j’ai une mission qui risque de ce prolongé, et là je me rends enfin compte que le job que j’ai tenu pendants plus de 4 ans me bouffer la vie, si mon état de santé c’est détérioré si gravement, je pense que ce job ni était pas pour rien

 Vivre a 100 à l’heure, être harcelé et insulté, voir menacé régulièrement car on ne travaille pas assez vite, les assistés m’aime pas attendre, on est à leurs services  ils leurs faut ce qu’ils veulent de suite surtout pas leurs demandé de documents et pas leurs prendre la tête avec des questions.

 Quand on est en plein boulot, le soir épuisé et stresse, on ne prend pas le temps de ce posai les bonnes questions, le travail que l’on fait ne nuit il  pas a notre bien être, et ne perturbe pas en plus la vie familiale.

 Finalement même si je suis retourné dans la précarité, je vie mieux mon boulot et surtout je ne suis  plus confronté a cette population odieuse, les contacts avec les clients, son courtois et agréable, même les quelques rares  râleur le fond avec courtoisie.

Il faut avoir pris du recul pour voir clair, pourtant il y a quelques années genre 15 ans, j’avais fait ce reproche a mon époux, mais pour moi je n’ai pas était capable de voir que j’avais le même syndrome.